Professeur : Simon
Niveau : confirmé
Date / Heure
Date(s) - 14/12/2018
12:30 à 14:00
Ashtanga Yoga Institute
610, Chaussée d'Alsemberg
Bruxelles - Belgique
Il faut généralement plusieurs années d’entraînement assidu pour développer la souplesse et l’endurance nécessaires à la pratique en continu de cette première série, qui vise essentiellement à rééquilibrer le corps de façon à l’assainir et à le prémunir contre la maladie.
La première série
Représente la structure de base de l’Ashtanga Yoga : nous verrons ici, les 70 postures composant la première série.
Voir schéma des postures vu dans le cours
Dans la pratique de l’Aṣṭāṅgayoga, les yeux sont constamment ouverts. Les postures, sont les mouvements rythmiques (Vinyasa).
Cette pratique de la première série va vous donner plus de confiance en vous-même et en la vie.
La pratique, déroulement
Nous accordons beaucoup d’importance à :
- la qualité de la respiration (Jālandhara & Ujjāyī) et à sa profondeur
- aux placements musculaires du contrôle pelvien et abdominal (Mūla bandha & Uḍḍiyāna)
- la concentration du regard (Dŗșți) pour chaque posture (ãsana)
vous aurez vu ainsi les trois piliers qui constituent le fondement de la pratique de l’Ashtanga Yoga (aṣṭāṅgayoga)
Les bénéfices de la pratique de la première série
Elle va vous donner, une force intérieure, une puissance d’allongement et une aisance d’étirement musculaire.
Quand les trois composants sont en harmonie synchronisée
- Jālandhara & Ujjāyī
- Mūla bandha & Uḍḍiyāna
- Dŗșți
Le pratiquant a atteint l’équilibre intérieur (tristana).
Finalement, le pratiquant (sādhaka) entre dans une danse, une méditation en mouvement (dhyāna).
Ainsi, vous devenez un pratiquant confirmé
« Le yoguin fixant son énergie visuelle entre les deux sourcils,
égalisant les inspirations et expirations qui cheminent à l’intérieur du nez, maître de ses facultés sensibles, de ses facultés mentales et intellectuelles,
le Sage tendu vers la délivrance, sa fin ultime, est dépris du désir,
de la crainte et de la colère; il est libéré à jamais ».
Bhagavad Gītā, V,22/28